Strong & Alive - chap 20 (suite 1/3)

je ferais mon com demain j'ai des math a terminer ....

salu je post que maintenant .....désolé si le post n'est pas très long....aujourd'hui c'est vendredi 15 c'est a dire la fin donc question moral.....en sachant que mike...enfin voila plus trop envie de poster en ce moment

Citation :

S : Tu ne dors pas ?
M (plus sec qu’il ne le souhaitait) : Non.
S : Ca fait trois nuits de suite que tu ne dors pas Michael.
M (regardant toujours droit devant lui) : …
S (jouant nerveusement avec ses mains) : Est-ce que… est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ?

mike ne dort pas ...trop de fardeau et de chose l'en empêche.....

Citation :

M : Sara, je… tu n’as rien fait de mal. Je n’arrive pas à dormir c’est tout. Trop de choses traversent mon esprit.

je sais pas si c'est a cause de ce que demain on va savoir pour mike mais cette réplique ma rendu triste j'ai repenser d'un trait a tous le combat de mike depuis le début...

Citation :

M (lui chuchotant à l’oreille) : Et puis si je me suis éloigné de toi, c’est pour ne pas être tenté avec eux trois à nos côtés.

après une journée très dure pour moi j'ai enfin rigoler et lâcher toute cette pression

Citation :

Su : Oh mon dieu.

J’entends un grincement de porte et tous ensemble nous le suivons du regard alors qu’il se met à courir vers la maison...

mais c'est quoi????!!!! la tante de sucre ??ou encore maricruz ??!!

bon comme je l'ai dit le com est court désolé....

merci pour cette suite qui me change les idées

oups... 10 jours sans suites... désolée.
bon en même temps ça à l'air de choquer personne... je continue ??

nooooooooon, on été en deuil juste
alors envoie la suite est des que ca saute

oui moi aussi, et on l'ai toujours (enfin moi)

bon aller je post bientôt !

et voilà la dernière partie du chapitre 12... bon par contre je tiens à préciser que cette fic à été faite bien avant certains épisodes de la série, donc certains événements seront différents par rapport à ce qui se passe dans la série.
bonne lecture !




(Pensées de Michael)

Sucre court comme si la mort le poursuivait. Une jeune femme pousse la moustiquaire de la petite maison et l’attend sous le porche, un grand sourire sur le visage. Mari Cruz lui saute dans les bras lorsqu’il la rejoint. Ils s’embrassent par de multiples baisers sans plus pouvoir se lâcher. Sous ce spectacle nous ne pouvons nous empêcher de rire à la joie de voir Sucre et Mari Cruz se retrouver enfin.

Je me retourne vers Sara, elle rit aux éclats. Les voir ainsi me donne envie. Je suis quelqu’un de discret et réservé, je n’expose jamais mes sentiments au grand jour ou autant que je peux l’éviter. J’aimerais pouvoir couvrir Sara de baisers comme ils le font. J’aimerais pouvoir la toucher ainsi en pleine lumière, mais je ne peux pas, je n’y arrive pas. Cela fait renaître en moi la sensation de manque que je m’étais obligé à oublier durant ces trois jours. Trois longues et indéfinissables journées et nuits pendant lesquelles j’ai tenté d’ignorer ce besoin physiologique : sentir le corps de Sara et le mien se mouvoir à l’unisson.

Au début ce fut difficile, le désir me consumait à même la peau. A plusieurs reprises, j’étais sur le point de l’emmener avec moi, de l’attirer jusqu’au sous-sol, cachés de nos « chaperons » et des membres de l’équipage. J’aurais voulu lui faire l’amour pendant des heures entre deux containers de marchandises. Ce n’était simplement pas l’endroit ni le moment. De funestes pensées me sont revenues à l’esprit et ainsi pendant le voyage, j’ai fuit Sara. J’avais peur de ce qu’elle pouvait penser de moi. Je me suis éloigné et je me suis laissé submerger par ce sentiment de culpabilité qui grandit en moi un peu plus chaque jour. Nous avançons et il y a sans cesse des barrages pour se mettre au travers de notre chemin. Il nous faut les confronter et, malheureusement, cela se fait toujours au détriment de la vie de quelqu’un.

Pendant trois jours je suis resté prostré, confiné dans ma propre souffrance et aujourd’hui mon envie me revient comme un boomerang en pleine figure. Je m’étais juré pendant mon temps en prison de ne jamais devenir ce genre d’hommes contrôlés par leurs pulsions animales, juste à la recherche de sexe pour calmer leurs ardeurs. Le jour arrive à son terme et pourtant je suis envahi par une immense sensation de chaleur. Sara pose les yeux sur moi. Elle a le teint légèrement halé après avoir passé plus de deux semaines au Panama. Le soleil couchant me laisse apercevoir une légère nuance de roux qui se reflète dans ses cheveux. Ses lèvres légèrement entre-ouvertes m’appellent encore et toujours. Elle est irrésistible comme jamais et mon envie grandissante. A nouveau un sentiment de culpabilité s’infiltre en moi.

S : Michael ?

Sa voix résonne à mes oreilles comme la plus douce des sensations. A plusieurs reprises elle prononce mon nom mais bouleversé par la confusion qui règne en moi, je suis incapable de revenir à la réalité. Au bout de je ne saurais dire combien de temps, alors qu’elle pose sa main contre mon poignet, mon esprit fait front avec mon corps à nouveau et je lève la tête rencontrant ses yeux à la fois attendris et préoccupés.

S : Michael, ils nous attendent.

Je regarde autour de moi, la voiture est déchargée, le soleil toujours plus bas dans le ciel et ils sont tous rentrés à l’intérieure de la maison. Un sourire moqueur sur les lèvres, elle m’entraine pour rejoindre les autres. Nous arrivons dans une habitation chaleureuse. Du parquet usagé sur le sol donne un air rustique à cet endroit. Les murs sont colorés et décorés de nombreux cadres représentant des hommes, des femmes et des enfants parfois en costumes traditionnels et d’autres habillés de manière très rustique mais à chaque fois avec de grands sourires sur les lèvres. Face à nous, un escalier mène à l’étage alors qu’en le contournant j’aperçois la cuisine. A ma gauche, dans ce qui ressemble à un petit salon, tout le monde s’est regroupé autour de la maîtresse de maison. J’ai l’impression que cela fait des décennies que je n’ai pas entendu un bruit pareil : des cris, des rires provenant de toutes voix confondues. Soudain, le brouhaha se calme alors que Sucre remis des ses émotions cherche à savoir pourquoi Mari Cruz est là.

Su : Je… je ne comprends pas. Tu n’as pas pu recevoir ma dernière lettre, je l’ai écrite il y a à peine 5 jours, je…
MC (avec un grand sourire) : Je suis la depuis une semaine Fernando. Tu ne voulais pas me dire où tu étais, je ne pouvais pas supporter d’être loin de toi alors je me suis dit qu’un jour ou l’autre, quand tout serait fini, tu ne pourrais pas revenir à Chicago donc tu reviendrais ici.

Il lui saute à nouveau dans les bras, amusé et fière qu’ils aient eu la même idée avant de s’écarter d’elle inquiet pour prendre des nouvelles du bébé. Tout le monde rit à nouveau suite au comportement de Sucre fou de joie d’avoir retrouvé Mari Cruz.

Su (inquiet) : Tu es sure qu’il va bien ? Parce qu’on devrait peut être…
MC (amusé) : Il va parfaitement bien Fernando.
Su (à Sara) : Sara tu pourrais…
MC : J’ai fait une échographie il y a dix jours et…
Su (paniqué) : Une échographie ? Pourquoi faire ? Il y a un problème ?
MC (riant) : … et tu vas être papa d’un petit garçon.
Su (bouche bais pendant un instant) : Un… un garçon… tu veux dire pour… pour de vrai ?

Il me regarde la bouche grande ouverte et alors que je suis tout sourire sur le point de lui serrer la main pour le féliciter, il me prend dans les bras en criant à mes oreilles qu’il va avoir un petit garçon. Il dessert son étreinte et ne peut s’empêcher de bouger comme une pile électrique et de crier à tue-tête en enlaçant chaque personne dans cette pièce… chaque personne sauf Mari Cruz. Je le regarde perplexe lui faisant comprendre qu’il a oublié quelque chose.

Su (embrassant Mari Cruz) : Oh pardon bébé.

Nous nous asseyons tous ensemble dans le salon écoutant avec joie et sous de nombreux rires, nos aventures et nos « exploits » comptés par Sucre alors que sa tante vient nous apporter de quoi nous rafraichir. On croirait une grande famille qui fête ses retrouvailles après une longue absence. Je reste muet et légèrement en retrait, me délectant de chacune de ces secondes, de ces rires et de ces éclats de joie, n’ayant moi-même jamais vraiment connu ce genre de situations, habitué à être balader dans de multiples familles d’accueilles de Chicago.

S (profitant d’un instant où le calme est revenu) : Fernando, tu crois que je pourrais utiliser le téléphone de ta tante ?
Su : Oui bien sur, il y a un combiné dans la cuisine.

Sara se lève pour se diriger vers la cuisine laissant une place vide à mes côtés. J’ai le temps d’attraper furtivement sa main, elle se retourne en me souriant. Nous entrelaçons nos doigts l’un à l’autre et restons ainsi à nous regarder quelques secondes.

S : Je vais téléphoner à Bruce.

Elle me sourit à nouveau puis elle part passer son coup de fil. Je la suis des yeux pendant qu’elle marche jusqu’à la cuisine relevant chaque courbure de son corps pendant sa démarche onduleuse. Alors qu’elle entre dans l’autre pièce et que je la perds de vue, je me rends compte du silence qui règne ici et de tous les regards qui sont fixés sur moi.

M : Quoi ?
Su & L (en même temps avec un sourire moqueur) : Rien.
M (baissant la tête et souriant timidement) : …

Quelques minutes plus tard elle revient vers nous. Elle avance droit dans ma direction, la tête baissée, jouant nerveusement avec ses mains comme elle en à l’habitude. Mes yeux se font plus inquiets. Je la scanne du regard et je comprends que quelque chose ne va pas. Quelque chose va venir troubler l’état d’euphorie dans lequel nous nous trouvons actuellement.

M : Sara ?

Elle lève la tête me regardant intensément pendant plusieurs secondes. Elle essaie de me sourire pour me rassurer, mais je ne suis pas dupe. Je la vois déglutir difficilement avant de prendre la parole.

S : Hum… Bruce dit que ton procès risque d’être plus compliqué en raison des dernier événement. Il n’est pas certain que tu puisses être innocenté après l’évasion de Sona.
M (déçu et hochant la tête) : On fera avec.
S : Ce n’est pas tout Michael.
M (interloqué, relevant subitement la tête) :…
S : Ils enquêtent maintenant depuis un moment sur la compagnie, et une source sûre pense avoir découvert où se trouve leur repère.

Un silence énorme et pesant s’est imposé dans la pièce. Mon cœur s’accélère subitement. Je regarde partout autour de moi cherchant un point sur lequel me rattacher. Mes yeux s’accrochent à ceux de Linc, tous les deux dans un mouvement second nous nous levons précipitamment.

M : Où sont-ils ?
S : Long Island dans l’état de New York. Ils y auraient un laboratoire dans une base militaire.

Je tente de rester calme mais mon sang bout jusqu’au plus profond de mon être. La main de Sara contre la mienne m’apaise un court instant avant que cette envie, cette soiffe de vérité reprenne possession de moi.

L (énervé se dirigeants vers le hall) : On doit partir.
Su (se levant de son siège) : Linc tu ne peux pas partir comme ça, il va bientôt faire nuit.
L : Chaque seconde de plus qu’on passera ici sera l’occasion de les perdre. S’ils apprennent qu’on sait où ils se cachent…
MC : Vous devriez vous reposer avant de partir, vous aurez beaucoup de route à faire. Que vous y alliez maintenant ou demain matin ne changera pas grand-chose.
L (s’arrêtant et regardant son frère) : Mike tu veux faire quoi ?



so ???

mon dieu si seulement mike pouvait etre aussi chaud bouillant dans la série sara aurait très vite oublié le traumatisme du panama et on aurait eu des triplés
3 clonnes de mike l'extase looool

voilà avant de me mette à bosser, la première partie du chapitre 13.
Bonne lecture !




Chapitre 13 : Last supper

(La maison de la tante de Sucre, les pensées de Michael)

Mes yeux sont tournés vers la cuisine d’où je peux entendre les rires de Sara aux côtés de la tante de Sucre. Après que ce dernier et Mari Cruz aient décidés de sortir pour se retrouver, elle est partie la rejoindre dans la cuisine afin de nous laisser seuls un moment, Linc, LJ et moi.

L : Tu es sûre de ce que tu fais ?
M (se tournant vers Lincoln) : Oui, on ne pourra rien faire de plus ce soir. Le mieux c’est qu’on reste ici cette nuit et demain à la première heure on part pour Long Island.

Je comprends que l’envie de faire payer la Compagnie lui pèse, qu’il veuille régler cette histoire le plus vite possible, mais pour le moment on a rien. On doit en apprendre plus. On ne peut pas débarquer comme ça du jour au lendemain. Il nous faut un plan et pour l’instant il nous faut surtout nous reposer.

LJ : Aller papa, oncle Mike à raison. Ici au moins on aura un lit où dormir.
L : Nan mais LJ de toute façon tu ne viens pas avec nous, tu restes ici avec Sucre.
LJ : Quoi ?
L : Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose.
LJ : Il est hors de question que je ne vienne pas avec vous. Tu as vu ce qui nous est arrivé la dernière fois ? Jane est morte sous mes yeux et la Compagnie m’a retenu pendant deux semaines.
L : LJ !
LJ : Non ! Je viens avec vous un point c’est tout.
M : Il a raison Linc. On ne sait pas quand on pourra revenir le chercher, autant qu’il vienne avec nous.

Linc passe l’une se ses mains sur son crâne et le frotte légèrement. Après un profond soupire, il finit par accepter la décision de son fils. Je m’éloigne d’eux peu à peu pour qu’ils puissent se retrouver, me dirigeant, à pas de souris, vers la cuisine.

Là bas j’y trouve Sara et la tante de Sucre toutes les deux en train de cuisiner et de rire. Adosser à la porte, je l’observe, restant immobile à quelques mètres d’elle. Elle me tourne le dos et donc ne me voit pas, ce qui n’est pas le cas de la tante de Sucre qui me regarde et me sourit légèrement avant de s’éclipser.

Après son départ, je continue d’espionner Sara silencieusement. Elle à l’air d’avoir quelques difficultés. Un immense sourire, que je ne peux me résigner à effacer, se dessine sur mes lèvres. Je suis amusé de la voir ainsi, elle qui dans son métier est d’une précision et d’une confiance à toute épreuve, se retrouve totalement perdue dans une cuisine. Je ne peux m’empêcher de rire alors qu’elle a l’air de plus en plus dépassée par ce qui se trouve devant elle.

S (se retournant en entendant le rire de Michael) : Ca fait longtemps que tu es là ?
M (amusé) : Suffisamment pour savoir que tu n’as pas souvent l’habitude de cuisiner.
S (faisant la moue) : Hé !

Nous rions tous les deux. Je quitte ma place pour venir près d’elle et me placer dans son dos. Je passe mes mains contre ses hanches pour prendre les ustensiles présents devant nous, frôlant ma joue contre la sienne au passage.

M (avec une voix suave et sexy) : Attends je vais te montrer.

Je suis rapidement enivré par son parfum. Je place ma tête au creux de son cou venant respirer son odeur en partant de son épaule pour remonter jusqu’à son oreille. Elle laisse tomber sa tête en arrière, ne laissant plus d’espace libre entre nous par ce dernier mouvement.

Je retire les quelques cheveux qui bloquent le passage à ma bouche, avant de venir y poser quelques baiser doux et sensuels, partant de derrière son oreille et descendant jusqu’à sa jugulaire. Mes mains, ayant laisser tomber les ustensiles de cuisine, remontent le long de ses bras. Je caresse délicatement chaque parcelle de sa peau jusqu’à leur arrivée à hauteur de ses épaules. Je repousse le haut de son tee-shirt pour me frayer un passage et venir parsemer de baiser son épaule nue.

Délicatement, mes mains reprennent leur position initiale contre ses hanches afin de la retourner et de la positionner face à moi. Nos regards se figent l’un en l’autre pendant quelques secondes. On peut y lire un mélange des sentiments qui nous submergent instantanément, de la joie, de la tendresse, mais plus que tout, du désir.

Elle passe ses bras autour de mon cou, mes mains descendent le long de ses reins et nos lèvres viennent se rencontrer. Le baiser se fait d’abord calme et doux, prenant sa lèvre inférieure entre les miennes, avant que nos langues ne se rencontrent et partage milles sensations. Mais la fougue l’emporte et bientôt nous nous retrouvons perdus l’un en l’autre comme si la Terre s’était arrêtée de tourner, comme si plus rien n’existait autour de nous. Elle effectue une pression contre ma nuque pour que je sois encore plus proche d’elle. Je commence à perdre pied.

L (toussotant) : Hum hum.

En entendant la vois de Linc, nous nous écartons subitement l’un de l’autre à regret. Comme des adolescents pris en flagrant délit, nous baissons la tête timidement.

L : Ca sent le brûler jusque dans le salon.

Je me précipite vers les fourneaux pour essayer de réparer les dégâts causés. Sara fait quelques pas en arrière. Linc quant à lui la regarde un grand sourire sur les lèvres tout en haussant les sourcils. D’autant plus gênée, elle baisse les yeux avant que celui-ci ne quitte à nouveau la pièce.

L (en partant) : Faut vous contrôler les jeunes. Ce serait sympa de pas mettre le feu à toute la maison.

Il se retourne une dernière fois vers moi, je lui lance un regard noir avant de reprendre mon activité et tenté de sauver une part du dîner.

****

Le repas est chaleureux et convivial, et malgré nos malheur en cuisine, délicieux. De multiples plats sont étalés sur la grande table en bois du salon. Un échantillon de toutes les viandes possibles. Des tortillas, certaines farcies de haricots, d’autres de légumes mais qui ont toutes un goût sucré et parfumé de fruits et de vanille. Des sauces à bases de tomates et de piments rouges… les couleurs se mélangent et se marient à merveilles comme dans un véritable festival de sensations.

Nous discutons de choses et d’autres mais principalement de notre séjour à Fox River, du bébé de Mari Cruz, de Chicago, de l’enfance de Sucre… Comme toujours c’est lui qui monopolise la conversation. Quant à moi je suis trop occupé à me régaler pour pouvoir parler. J’engloutis plus de nourriture que mon ventre ne peut en contenir, mais j’ai l’impression de ne pas avoir mangé depuis 3 ans. Comme si ma vie s’était arrêtée le jour où j’ai appris que Linc s’était fait incarcéré. A partir de ce moment là, je n’ai plus voulu vivre que pour mettre en place mon plan, nous évader, fuir, retrouver Sara et libérer LJ.

L : Et bin Mike je crois que je t’avais jamais vu manger aussi… goulument. Oui, je crois que c’est le mot !
M (la bouche pleine) : C’est que j’ai pas mangé comme ça depuis une éternité.
L : Et bien j’ose à peine imaginer ce que ça doit donner sur le plan sexe.

Sara et moi nous étouffons quasiment avec notre nourriture. Un court silence suit la réflexion de mon frère avant que tout le monde ne se mette à rire. Quant à Sara et moi, nous nous regardons, gênés et en même temps tellement impatient de pouvoir passer une autre nuit ensemble et rien qu’à deux.

Après le dessert me voilà repu. Depuis plusieurs minutes, je vois Sara me regarder étrangement et me faire des signes. Son regard est brûlant de passion quant tout à coup je sens un pied s’immiscer entre mes jambes. Je ne peux pas croire qu’elle fasse ça. Pas ici. Pas maintenant. Elle s’amuse en voyant mon visage changer sous la torture qu’elle m’inflige. J’ai de plus en plus chaud, des difficultés à déglutir et quelques gouttes de sueur viennent perler mon front.

Su : Ca va Mike ? T’as l’air bizarre.
M (essayant de se contrôler) : Hum… ça va (regardant Sara avec un regard plein d’envie et de vengeance) j’ai dû trop manger. Je ne vais pas tarder à aller me coucher je pense.
LJ : D’ailleurs pour dormir on fait comment ?
L : En fait le but c’est de fermer les yeux et progressivement tu tomberas dans un profond sommeil.
LJ (frappant son père) : Hé ! Nan mais je veux dire pour les chambres, il n’en reste plus que deux de libre.
M (alors que Sara a cessé ses assauts) : C’est simple je crois que toi et Linc vous dormirez sur le canapé.
LJ : Ah non ça je ne suis pas d’accord.
S (regardant Michael espiègle) : Crois-moi ton oncle va en avoir besoin de cette chambre.
M (fronçant les sourcils envers Sara) : …
LJ : Attends oncle Mike, j’ai quand même passé deux semaines enfermé contre mon grès à dormir sur un vieux matelas pourri.
M : Et moi j’ai passé deux semaines dans une prison miteuse et tellement sale où tu ne survivrais pas 5 minutes.
L : Aller vient LJ. Tu vas dormir avec ton vieux père sur le canapé.
S (lançant un regard à Michael et faisant semblant de bailler) : Ah je suis épuisée, je monte.
L (pas très convaincu) : Ouais !




hummmm ça promet des choses pour la prochaine suite !

j'adoore comme d'hab et hate pour la prochaine suite ca c'est sur ca promet

pourvu qu'il ne vomisse pas tout ce qu'il a englouti sur sara, en tout cas un chose est sur il va se vider d'une manière ou d'une autre

tu peux nous envoyer la suite today ???
j'ai vraiment besoin d'un scène hot misa pour me remonter le morale

HANANE a écrit:

j'adoore comme d'hab et hate pour la prochaine suite ca c'est sur ca promet

pourvu qu'il ne vomisse pas tout ce qu'il a englouti sur sara, en tout cas un chose est sur il va se vider d'une manière ou d'une autre

putain je suis mdr ! mais t'es une petite dégoulasse toi dis donc !

bon aller je suis gentille, je vais la corriger et la poster donc dans 5 min (surtout parce que cette scène me faisait trop marer) !

géniale
tro contente

merkiiiii

bon je dois aller manger, mais je post juste après promis !

ca marche bon ap alors

et voilà, deuxième partie du chapitre 13.
bonne lecture !

Spoiler:

(Toujours les pensées de Michael) :

Quelques minutes plus tard, me voilà grimpant l’escalier à vive allure pour retrouver Sara au plus vite et pouvoir mettre un terme au supplice qui s’est installé en moi il y a quelques heures. J’entre dans la chambre, tout est noir. Petit à petit, mes yeux s’habituent à l’obscurité et je constate que Sara n’est pas là. La seconde suivante, je sens deux mains chaudes se poser contre mes yeux. Un sourire nait sur mon visage et une voix des plus sensuelles vient me susurrer à l’oreille :

S : Alors Scofield on s’est fait attendre ?

Très vite, je me retourne. Elle me regarde en souriant et en se mordant les lèvres. D’une main elle attrape le col de ma chemise, le serrant fortement au creux de sa paume, tout en accompagnant son geste du regard. Elle m’attire contre elle et recule doucement. Bientôt, nos deux corps sont l’un contre l’autre. Elle est adossée à la porte et ne peux aller plus loin. Je pause mes deux mains de chaque côté de sa tête, refermant mon rempart. Je ne peux m’empêcher de sourire en me disant qu’elle est prise au piège contre mon corps. Elle est à ma merci et ne pas s’échapper.

M : Tu ne croyais pas que j’allais te laisser t’en tirer comme ça. Après le coup que tu m’as fait tout à l’heure, j’ai bien le droit à ma petite vengeance.
S : Oh mais pour ça il va falloir m’attraper.
M : Mais je crois que c’est déjà fait.
S : Ah oui tu crois ça ?

Et sans que je m’y attende, elle glisse sa main dans mon pantalon. En un instant elle me fait perdre mes moyens et en profite pour s’évader de mon étreinte, courant à toute vitesse à l’autre bout de la pièce.

S : Je suis plus forte que toi Michael. Nous avons un certain pouvoir, nous les femmes, qui nous permet de faire ce que l’on veut de vous, les hommes.

J’avance vers elle la faisant reculer. Je la regarde avec un léger sourire, toujours plus envieux de son corps et toujours plus désireux de vengeance. Elle marche à reculons alors que je me rapproche de plus en plus d’elle. Bientôt, elle est stoppée par l’armoire qui se trouve dans son dos. A nouveau je viens poser mon corps conte le sien. Le désir monte en moi toujours davantage alors qu’elle continue de jouer. A plusieurs reprises j’essai d’attraper ses lèvres. Elle recule, m’évite en riant. Mais tout ceci ne fait qu’accroitre notre envie mutuelle.

Soudain, je réussis à saisir ses lèvres entre les miennes. Elle se détache de moi avant de reprendre notre baiser avec plus de fougue que précédemment. Nos lèvres ne se touchent plus seulement, elles sont unies. Nos langues se croisent et fusionnent. A bout de souffle, je m’éloigne de son visage tout en resserrant mon corps sur le sien. Ses mains descendent le long de mon torse. Enlevant l’un après l’autre les boutons de ma chemise. Je ne la quitte pas des yeux. Troublée, elle s’acharne sur l’un des boutons et poussée par trop de passion, elle l’arrache de son attache avant de faire voler ma chemise toute entière sur le sol. Comme elle en à pris l’habitude, elle contemple mon torse de haut en bas, ses doigts empruntant les chemins qui y sont dessinés. Je ne la laisse pas continuer, voulant récupérer l’avance qu’elle à pris sur moi. Je saisi ses poignets fermement d’une main, les redressant vers le haut de sa tête et, à mon tour, je fais valser son tee-shirt à travers la pièce.

Sa poitrine m’appelle. Je glisse mes mains sous ses fesses afin de soulever son corps. Mon mouvement un peu brutal fait tomber les bibelots qui se trouvaient au dessus de l’armoire. Alors que j’embrasse le haut de son cou et la naissance de ses seins toujours recouverts par une ultime barrière de tissu, Sara enroule ses jambes autour de ma taille et d’une main vient chercher quelque chose auquel s’accrocher sur le haut du meuble. Dans ce dernier mouvement, elle fait vaciller l’une de ces décorations qui vient se briser en mille morceaux sur le sol. Nous nous stoppons et son regard vient se fondre dans le mien.

S (gênée) : Oups !
M : On lui en enverra un autre des Etats-Unis.

Riant aux éclats, elle passe ses deux bras autour de mon cou alors que je tiens toujours son corps fermement contre moi. Je recule sans rien y voir puisque Sara a de nouveau sa bouche posée sur la mienne. Soudain mon pied se prend dans l’un des objets et fait basculer nos deux corps en arrière. Le matelas vient accueillir notre lourde chute. Nous ne pouvons retenir un grand rire tout en étant ravis d’être parvenu indemnes jusqu’au lit.

Elle reste assise sur moi quelques minutes avant de s’écarter. Nous nous redressons et nous asseyons immobiles l’un face à l’autre, elle, du côté de la tête de lit, moi, au niveau des pieds. Le temps est en suspend comme si tout s’était arrêté. Nous nous regardons un instant avant de comprendre que nous ne pourrons pas résister à la chaleur du corps de l’autre une seconde de plus. Sans nous quitter des yeux, nous nous débarrassons chacun du reste des vêtements qui nous incombent.

Nus chacun de notre côté, il ne nous faut pas plus de temps pour nous retrouver. Elle élance son corps brûlant de désir contre le mien. Je viens la saisir par la taille, mais sous une impulsion trop forte, nous tombons à la renverse avant d’arriver sur le sol. Après cette nouvelle chute, nous tentons de rester silencieux une minute essayant de passer inaperçu, alors que ce bruit à du résonner dans toute la maison, mais nous ne pouvons nous empêcher de rire à nouveau.

M & S (en même temps en riant) : On ne tombera pas plus bas.

Allongé sur un vieux tapis je ressens une certaine gêne au niveau de mon dos. Je retire l’une des chaussures dont Sara s’était débarrassée afin de me mettre plus à l’aise. Encore une fois assise sur moi et ayant repris un air sérieux, elle se penche afin de venir m’embrasser. Arrivée à quelques centimètres de ma bouche elle s’arrête un instant, ses mains posées sur mon torse. Quelques mèches tombent le long de son visage que je viens replacer derrière son oreille. Je continue mon mouvement en caressant délaitement sa joue alors qu’elle ferme les yeux.

S (ouvrant les yeux) : Je t’aime Michael.
M (murmurant sur le même air sérieux) : Je t’aime Sara.

Après quelques secondes d’un regard intense bercé par ses tendres paroles, son visage parcourt les derniers centimètres qui nous séparent et elle vient poser ses lèvres contre les miennes. Sans briser ce moment, je fais basculer son corps pour me retrouver au dessus d’elle, prenant au passage le drap étendu sur le lit afin de venir recouvrir nos deux corps en transe.

Je m’écarte quelques secondes de son visage afin de capter son regard. Je peux lire au plus profond de ses yeux tout le désir qui la consume de part en part. J’entre alors en elle dans un léger coup de rein. Sous mon impulsion ses yeux se ferment. Un léger grognement s’extirpe de sa bouche. Un sourire se dessine sur ses lèvres. Nous entamons notre vas et viens dans une cadence régulière rythmée par nos gémissements.

Le corps de Sara vient se cambrer contre mes hanches pour ressentir davantage de plaisir. Gémissant mon nom elle m’incite à intensifier le mouvement. Ses mains se baladent dans mon dos, ses ongles entrant pratiquement en contact avec ma chair. Je m’efforce de prolonger cet instant le plus longtemps possible. Les mouvements de nos deux corps contre le sol font craquer le parquet usagé. Sara, le bras gauche tendu au sol, vient serrer un morceau de tapis fortement au creux de sa paume. Pressant ses jambes contre mes hanches je sens ses genoux frémir alors qu’elle libère un ultime gémissement. Peu de temps après je viens la rejoindre posant ma bouche contre la sienne évacuant un cri de plaisir.

Essoufflés, le corps moite et fébrile, nous tentons de reprendre notre respiration. Nous restons scotchés ainsi l’un à l’autre plusieurs minutes. Deux énormes sourires se glissent sur nos visages. On peut voir notre bonheur à des kilomètres, je crois même qu’on a pu l’entendre. Finalement je me détache d’elle et vient m’allonger sur le dos à ses côtés. Nous fixons tous les deux le plafond en silence, puis nous nous mettons à rire aux éclats.

S (amusée, un grand sourire sur les lèvres, tournant sa tête vers Michael) : La prochaine fois on fait ça sur le lit.




so ? moi perso, je me suis marrée à l'écrire à l'époque !

ouais ben moi aussi je me suis bien marré la
l'armoire, le lit puis le sol, ils sont pas doués enfin par sur tous les plans

je crois que je vais intégré cette scène ainsi que la scène de l'appart de mike et de l'orage dans ma petite tete comme de réelles scènes misa il faut bien a défaut de ne pas en avoir eu en vrai

Citation :

LJ : D’ailleurs pour dormir on fait comment ?
L : En fait le but c’est de fermer les yeux et progressivement tu tomberas dans un profond sommeil

mdr ce que dit lincoln xd

c'est vrai ils son pas douée
heureusement qu'aprés le sol il peuvent pas tomber lus bas

merci les filles !

bin ils auraient peut être pu défoncer le parquet, faire un trou dedans et se retrouver au rez de chaussé, à poil face à LJ et linc sur le canapé !

a oui c'est vrai sa serait trop marrant

salu deso de pas avoir poster depuis......heu pas mal de temps je vien toujours sur le fofo juste pour lire ta fic

alors a quand la suite ??????

ça fait plaisir de te revoir !
je vais la poster dans pas longtemps je pense.
merci en tout cas, mais n'hésite pas à venir pour d'autres choses aussi hein !

miliibnb a écrit:

ça fait plaisir de te revoir !
je vais la poster dans pas longtemps je pense.
merci en tout cas, mais n'hésite pas à venir pour d'autres choses aussi hein !

merrci.....mais je vais peut etre encore supprimer mon compte t'inquiète c'est juste pour changer de pseudo parce que lui il est moche

et youpi tu va poster !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! en attendant je vais rattraper la dernière suite que j'ai pas lu....je sais honte a moi

ayé je viens de créé un nouveau compte...va falloir que je refasse une demande d'adhésion au pollueuse