Wentworth parle de lui.

Aller quelques petites confidences d notre cher Wentworth

Au sujet de sa vie au lycée : « J'étais connu, mais je n’étais pas nécessairement apprécié au lycée. Je n'avais pas une vie sociale très active à cette époque. Tous les démons d'enfance que j’ai eus ou que je n’ai pas eus, je les ai exprimés en jouant Michael. C’est moi poussé à un extrême. C'est un exutoire sain et thérapeutique ».
Source : TV.com

« Mon expérience fait que je me trouve constamment en train de me définir aux autres, jour après jour. La citation qui m'a le plus aidé pour surmonter ça est celle de la fiancée de Toni Morrison où elle dit, « les définitions appartiennent à ceux qui les définissent, et non pas à ceux qui sont définis » - ainsi je me trouve moi-même en train de me définir auprès des autres de peur d’être défini par eux et d’être coincé dans une certaine boîte à laquelle je n'appartiens pas spécialement ».

« Je me rappelle un mot que mon père me disait chaque jour à la sortie de l’école : « incréments » (en mathématique incrémenter c’est augmenter automatiquement). Chaque test, chaque quizz, chaque conversation avec le professeur, tout pouvait contribuer à la note finale, et aurait une incidence à ton départ de l’université et le reste de ta vie. Tous ces petits morceaux se sont ajoutés jusqu'à quelque chose de plus grand ».
Source : ThinkExist.com

Au sujet de ce qu’il préfère chez lui :«J’espère que nous avons tous quelques traits dont nous sommes particulièrement fiers.Pour moi, mes yeux sont ce que je préfère chez moi».
Source : TV.com

Oui ou non chanterait-il encore une fois : « Chanter est quelque chose que j'ai fait à l'université et j'étais trop effrayé à l'idée de jouer la comédie. Mais ça fait trop d'années et trop de cigarettes ».
Source : TV.com

« J'aime nager, lire et faire des siestes. J'écris un ou deux scénarios et à Chicago j'essaie d'aller à un restaurant différent chaque semaine. Je passe un peu de temps à l'institut d'art de Chicago parce que la musique, la peinture, les films et le théâtre contribuent au travail d'un acteur. Vous ne savez jamais où vous allez trouver des influences ».
Source : TV.com

« Je suis un flémard de la pire espèce. Je n’ai pas beaucoup d’activités en dehors des tournages. Je ne suis pas très à l’aise dans les bars et les clubs. Je préfère reste chez moi à jouer au scrabble, aller diner avec quelques amis, aller au cinéma ou encore passer tout le weekend à regarder mes séries préférées. Je suis quelqu’un de très ennuyeux. Je vais à la bibliothèque et je lis tout ce qui me passe sous la main. Je mange vite fait au snack du coin. Et quand j’ai besoin de vêtements, je vais chez Gap ! J’aime la nation, la lecture et piquer des sommes quand ça me chante. Je passe beaucoup de temps dans les expositions et autres mussées car la musique, la peinture, le cinéma et le théâtre peuvent tous à la fois contribuer au développement et à l’évolution d’un acteur ».

Quand il est devenu une star internationale, grâce à Prison Break, Wentworth a certainement dû penser qu'il était devenu un sex symbol : « Je mentirais si je disais le contraire. De temps en temps c'était flatteur, quelque chose de bon. Michael n'est pas particulièrement compréhensif et finalement ce qui est arrivé était en quelque sorte incroyable. Mais j'aime à penser que j'ai plus à offrir que ce que vous voyez devant vous».

Quant à sa famille, il dit qu'ils n'ont pas eu à beaucoup se préoccuper de sa notoriété : « Mais je me sens vraiment responsable d'eux, de leur vie privée. Si quelqu'un devait s'en prendre à une personne que j'aime - Dieu me pardonne- je pense qu'il pourrait y avoir des similitudes entre mon personnage de Prison Break et moi ».

« Mon endroit favori dans le monde entier est Prospect Park à Brooklyn, New York. C'est directement la rue d'où j'ai grandi. C'est le meilleur espace vert sur la planète et j'essaie de m'y retirer chaque fois que je peux. S'asseoir sur un banc du parc, manger un petit pâté de boeuf jamaïquain et observer les gens qui passent...Il n'y a pas mieux que cela. Mais pour le drame pur c'est une partie de la nature, la partie artificielle, je pense que Petra en Jordanie est un des endroits les plus stupéfiants sur la Terre. Ces façades antiques taillées directement dans la roche rouge. Incroyable. À couper le souffle ».

« Je vis à LA, qui est le paradis des paparazzis. Donc, il y a toujours un paparazzi dans le coin et je comprends que c'est leur moyen de gagner leur vie. Leur gagne pain. On a tourné les saisons 1 et 2 à Chicago, on était tranquilles là-bas, j'ai bien aimé. C'était facile. Comment dire ? Les paparazzis sont comme le mauvais temps, inutile de se prendre la tête. En fait, vous ne pouvez rien y faire».

« Certaines choses ne doivent pas être discutées en public. Je me souviens qu'enfant, mon père m'avait amené dans un bureau de vote dans les années 80, mais il ne m'a jamais dit pour qui il avait voté. Il y a des sujets comme la politique ou la religion que je n'aime pas aborder. Certains acteurs aiment parler de leurs convictions. Je préfère vous dire que durant le tournage de la saison 1, j'ai eu l'opportunité de vivre dans une vraie prison avec des détenus qui jouaient les figurants. Ils m'ont donné une autre perspective de la vie derrière les barreaux ».

« On a tous des stéréotypes sur ce qu'est un criminel, sur ce qui arrive dans une prison banale. Ce dont je suis sûr, c'est que la frontière entre eux et nous est très floue, pas de différence ou de définition. On peut facilement se trouver dans une situation similaire, ce n'est qu'une question de chance...Vous conduisez, vous rentrez dans un site en construction, vous heurtez un employé, ceci peut vous envoyer pour 10 ans en prison...C’est effrayant. Comme il y a des gens en prison qui ont commis des crimes horribles, il y en a qui n'ont rien fait de tel, qui ont des histoires comme celle que je vous ai raconté et qui pensaient que ça ne leur arriveraient jamais. Une partie du succès de la série est due au fait qu'on montre la dure réalité de la vie en prison. Nous avons tourné la saison 1 dans une vraie prison, à Chicago, j'y passais 15 à 16 heures par jour, 5 jours par semaine, pendant des mois. Pourtant, à la fin de la journée, je sortais et pouvais rentrer à la maison et c'est toute la différence ».

« Par nature, je suis vraiment timide. Cependant, mon métier implique que je communique avec le public. Donc je dois apprendre à m'exprimer devant des millions de gens. Je ne peux pas me permettre d'être timide. La carrière ne me le permet pas. Grâce à PB, j'ai dû apprendre à communiquer avec les téléspectateurs, à parler au nom de l'équipe, à devenir un acteur professionnel. Je l'apprécie vraiment et j'en suis reconnaissant».

« Le dimanche chômé. Pas besoin de se lever tôt, aller au café dans des vêtements confortables, acheter un journal, prendre un café, ne rien faire. Peut-être diner avec des amis. Voilà ce que j'appelle un bon moment».

« C'est vraiment étrange ce titre de sex-symbol. Ce regard, je l'ai depuis 10 ou 15 ans, et mes yeux ne sont pas d'un coup devenus plus verts... Mes yeux louchent quelques fois à cause de leur grande sensibilité. J'ai souvent le regard fixe. Je crois que je ne mérite pas ce titre. »

« Je n’avais pas toujours une très bonne attitude. Je ne pouvais pas m’empêcher de démarrer au quart de tour et faire des réflexions très sarcastiques aux gens qui m’entouraient, ce qui m’a valu ce surnom».

« J’aimerais beaucoup chanter dans un film mais comme je n’ai pas pratiqué depuis dix ans, il me faudrait beaucoup de travail pour que ma voix redevienne présentable ».

« Mes parents m’interdisaient d’écouter des chansons qui avaient des paroles pendant que j’étudiais. C’était donc de la musique classique ou rien ! Je suis ainsi passé à côté de tous les tubes des années 80 que mes camarades écoutaient en boucle. Aujourd’hui, je me rattrape en n’écoutant que ça sur mon iPod ! ».

« Je suis titulaire d’une maîtrise en littérature anglaise. J’étais un excellent étudiant. Pas très causant, mais bon... Je passais mes journées le nez dans les bouquins tout en avalant un sandwich acheté au fast-food du coin. L’intello, quoi. D’ailleurs, j’aurai pu enseigner si j’avais voulu... ».

Concernant sa mère : « Elle aime bien m'envoyer des petits mots, flatter mon ego et me rendre heureux ».

WENTWORTH MILLER FACE A SON SUCCES GRANDISSANT

Vous semblez très réservé, serein et discret. Comment le rester face à votre succès grandissant ? « Ce métier d’acteur représente toute ma vie. J’ai un pacte avec le public et je m’oblige à jouer le mieux possible, afin que mes fans ne soient jamais déçus. Mais au-delà de ces obligations professionnelles, je ne me sens pas obligé de révéler quoi que ce soit sur ma vie privée ».
Source : L’Officiel Hommes Printemps-Eté 2007

Comment gérez-vous ce succès et votre image, tout en restant zen ? « Malheureusement, il semble qu’il faille donner en pâture des morceaux de sa vie pour amplifier l’intérêt du public pour une nouvelle série, un nouveau film ou encore un nouvel album. Ce sont des stratégies commerciales que je n’approuve pas. C’est même un jeu dangereux, car je pense que, plus le public vous connaît et est témoin de vos moindres faits et gestes, moins vous avez de crédibilité à ses yeux. De plus, à mesure que votre notoriété ou pseudo célébrité a la cote dans la presse people, plus on vous enferme dans une image ou un rôle qui n’est pas forcément le vôtre. C’est le revers de la médaille, et je veille à m’en protéger ».
Source : L’Officiel Hommes Printemps-Eté 2007

« Je n’ai pas besoin de voir mon nom écrit en énorme sur une affiche. Je recherche des bons scénarios et je ne suis pas contre l’idée de jouer des petits rôles avec de grands acteurs, comme Denzel Washington que je respecte ».
Source : L’Officiel Hommes Printemps-Eté 2007

Quelle est la réaction de votre famille face à votre métier, à votre succès ? « Ils sont très enthousiastes bien sûr. Ma maman regarde la série chaque semaine. Mais elle n'aime pas quand Michael, ou quelqu'un d'autre est blessé. Ca la bouleverse. Donc je dois l'appeler chaque semaine avant la série pour la prévenir. Oui, je lui dis tout ».


WENTWORTH MILLER CITATIONS DIVERSES

Au sujet de l'enseignement : « Tant que vous êtes à l'école, je pense qu'il est important de tirer profit de tout ce que votre école peut vous offrir. Je pense que c'est une erreur pour un diplômé d’anglais de se concentrer seulement sur l'anglais. Le but des études supérieures est de s'exposer à autant de disciplines et d’influences différentes que possible, parce que vous ne savez jamais d’où viendra l'inspiration nécessaire pour votre travail. Je sais personnellement, en tant qu'acteur, que je peux être inspiré par une peinture ou un morceau de musique ou un livre que j'ai lu ».
Source : TV.com

Au sujet de la mode : « Ma définition du cool c’est de trouver sa propre définition de ce qui est cool et de ne pas nécessairement suivre ce que les autres vous disent ou ce que vous pourriez lire dans les magasins ou voir à la Télé. C’est de trouver quelque chose dans votre vie, dans votre garde-robe qui soit confortable pour vous. Par rapport à la façon dont je m’habille, être décontracté signifie porter des vêtements dans lesquels on se sent à l’aise. Beaucoup de jeans, T-shirts et oh des pantalons baggy ».
Source : TV.com

Vous intéressez-vous à la mode ? « Mis à part les séances de photos de mode que j’apprécie, c’est vrai qu’on me demande souvent mon opinion sur la question. Quels sont les lieux branchés que je fréquente, mes parfums préférés… J’avoue que je ne sais pas trop quoi répondre car cela ne m’intéresse pas vraiment ».
Source : L’Officiel Hommes Printemps-Eté 2007

Récemment, Wentworth Miller a discuté de sa vie privée et de sa vie de famille avec The Mirror : « Si c'est un fan c'est une situation très différente que lorsque c'est un paparazzi avec une caméra. Je suis heureux de rencontrer les fans, mais c'est différent lorsque vous remarquez que le même fourgon a suivit votre voiture durant les cinq dernières heures».

« Quand je me lève le matin, je ne me demande absolument pas si je vais être à la mode. Je n'aurais jamais pensé être une icone de la mode. Mais je pense que tout le monde doit avoir son propre style : savoir choisir une veste qui lui va parmi tant d'autres, choisir une paire de lunettes, une montre. Et les laisser devenir une part de soi-même. Je pense que de cette façon vous créez votre propre mode. Je suis prêt à vous faire partager ma méthode : maligne et abordable ».

« Je reçois parfois des lettres de 10 pages de femmes qui m'ouvrent leur coeur et je n'ai le temps que de leur répondre "Chère Melle X, portez vous bien". Ca n'est jamais assez».

« Savoir que j’ai des fans à travers le monde entier signifie tout. L’industrie du divertissement est une entreprise planétaire, et j’ai de plus en plus l’impression que l’on fourni les marchés étrangers. L’idée d’un film jugé uniquement sur le mérite de son box office local, ou d’une série télé jugée seulement sur la base de combien de fans américains regardent et achètent les DVD, est révolue. Ceci dit, avec tant de personnes dans tant de pays différents, essayant de me suivre et de suivre la série, je me soucie parfois à quel point on peut perdre de l’info dans la traduction, spécialement en ce qui concerne la presse écrite. Imaginons que je donne une interview à un magazine étranger. Supposons que le journaliste n’est pas un des nombreux, nombreux journalistes qui ne réfléchissent pas à deux fois avant de paraphraser, ou de fabriquer des déclarations, ou même de voler des déclarations dans des autres interviews – ils vont faire de leur mieux pour traduire avec précision tout ce que j’ai dit dans leur propre langue. Mais même avec la meilleure intention, des fautes seront faites. Ensuite cette interview est publiée en ligne, et est re-traduire par tous les fans qui veulent lire et partager dans leur propre langage. Alors au final, vous terminez avec une interview qui a été traduite plusieurs fois, et une série de déclarations qui ne ressemblent, même pas vaguement, à ce que j’ai dit à l’origine. Mais certaines personnes prennent ces choses pour parole d’évangile, et cela peut conduire à de fausses informations et des malentendus. En même temps, je n’ai pas l’énergie ni les capacités de surveiller ma représentation dans les médias, alors 9 fois sur 10, je suis prêt à laisser passer. C’est pour cela que je dis aux gens : si vous ne me voyez pas le dire à la caméra, ne croyez pas que je l’ai dit. Vous devez prendre tout ce que vous lisez avec des pincettes, surtout dans l’industrie du divertissement ».
Source : Cosmopolitain chine

source : http://wentworthearlmiller.com/