voila c'est la fin de ma fics (enfin) oui toutes les bonnes choses ont une fin , j'espère qu'elle vous plu
merci pour vos coms
voila :
Je me suis réveillée avec l’impression de commencer le premier jour du reste de ma vie. Je ne voyais pas son visage, mais je savais qu’il veillait sur moi. Je le soupçonne même de n’avoir pas dormi. Il m’a embrassée et puis il m’a demandé si il pouvait aller réveiller Rose.
S- C’est ta fille mon amour, tu fais ce que bon te semble.
Il est parti à toute vitesse dans la chambre de Rose.
Heureusement pour lui, je ne suis pas jalouse d’une petite fille de quatre ans. Je n’ai quand même pas résister à aller les observer. La douceur avec laquelle il réveilla Rose me fit fondre. Elle alla de caler dans ses bras le temps d’émerger de ses plumes. Michael la gardait contre lui comme si il tenait la chose la plus précieuse au monde. Elle l’était. Il lui expliqua la version pour enfant de notre histoire, et la résuma par un "je t’aime ma princesse et si cela avait été possible je n’aurai manqué aucune journée auprès de toi". Le tableau était trop touchant, et je ne pus résister à l’envie de les rejoindre. Lorsque Michael m’embrassa, Rose étudia consciencieusement la chose, la mine mi-réjouie mi-dégoûté. Ma fille, heu notre fille, ne perdant jamais le nord, dit à son père :
R- Mais donc ça veut dire que tu vas vivre avec nous? Et que alors je vais pouvoir aller faire du bateau quand je veux.
Pas bête cette petite.
Michael ne pouvant rien lui refusé, on est partis toute l’après midi et mer, et notre petite famille fit connaissance.
On est rentrés tard, Rose dormait dans les bras de Michael. Il est allé la déposer dans sa chambre. Il est revenu souriant.
S- Elle t’adore
M- Moi je l’aime. Toi aussi je t’aime.
J’ai décidé que l’heure des retrouvailles avait sonné pour nous aussi. Cette nuit était la nôtre.
S- Serre moi dans tes bras.
M- Tu sais à quoi tu t’exposes? Parce que si je te serre dans mes bras, je risque de ne pas pouvoir m’en contenter.
S- Qui t’as demandé de t’en contenter?
M- Une victime consentante, j’adore…
On s’est précipité dans la chambre. Il était devant moi, dans l’obscurité, je devinais son corps. Il entreprit d’enlever un part un mes vêtements. Il explorait ma peau de la pulpe de ses doigts, et la langueur avec laquelle il le fit me laissa pantelante. Il décida ensuite d’embraser ces mêmes sillons avec sa bouche cette fois. Je tremblais, me jambes ne me soutenaient plus, il me déposa délicatement sur le lit. Il m’embrassa avec une possessivité et une profondeur qui ne firent qu’accentuer mon désir. Il me contempla. J’étais nue et je n’éprouvais aucune gêne, je me sentais juste désirable. Je pris les choses en main et le fit s’allonger à côté de moi. Je l’ai déshabillé avec plus de fièvre et d’empressement, sa peau m’avait tellement manquée. Je redécouvris ces effluves de cèdre et de citron. Je ne pouvais m’empêcher de le toucher, de l’embrasser. Je le coinçai avec mes jambes pour le sentir toujours plus près, mon ventre le voulait, et mon ventre l’a eu. Réceptive à la moindre de ses caresses, j’ai passé la majeure partie de la nuit dans état de jouissance absolue, d’ivresse intersidérale. Je me suis réveillée avec ce sentiment de plénitude que je ne pensais plus retrouver. Je suis restée dans l’alcôve feutrée de ses bras et je me suis rendormie contre lui.
M- Allô Linc? Ça tient toujours toi, moi, LJ, les femmes que j’aime et un magasin de plongée?
L- Les femmes?
M- Je t’expliquerai…
FIN