voila une suite, après, je sais , apres trop de temps d'attente! j'espère qu'elle vous plaira, j'ai en gros repris le scénario de l'épisode mais la suite changera! je vous mets le titre en anglais et la traduction litterale en francais, qui fait bizarre, mais ca correspond bien a ce qui se passse
« riots, drills
and the devil »
( émeutes, perceuse et le diable
)
Michael descendit l'escalier en
soupirant et regarda ce qu'il avait provoqué. Des centaines
d'hommes en colere et excité comme des betes dans cet endroit
chaud comme un four. Dans cet enfer brulant, aminmé par la
passion devastatrice de quelaues fauves qui libérés de
leurs cages, entrainaienet les autres a leur suite. Si il avait su
que les choses se passeraient de cette facon la, aurait-ilfait la
même chose? Regrets, questions et doutes l'assailaient. Il
decida de ne plus y penser. Poiur son frere, ouim il avait
provoque'cette émeute, et se lamenter surles conséquences
de ses actes ne ferient pas avancer les choses. Il jeta un dernier
coup d'oeil a la situtaion avant de rentrer dans sa cellule ou le
drap était tendu. T-bag y tenait en respect un jeune gardien,
un nouveua, Bob. Il lanca un regard noir au prédophile, lui
faisant comprendre qu'il ne tolererait aps nque le gardien soit
maltraité. Il s'engouffra dans le trou obscur des toilletes et
plongea dans le réseau des canalisations, que petit a petit il
connaissait de meiu en mieux. Il retrouva Sucre et lui explique
commnet percer le mur, en essayant de le rassurer a propos du diable
projeté sur le béton:
-dieu te protegera, le diable ne peut
rien contre toi sucre!
Peu rassuré, sucre demada encore:
-comment on va percer un mur avec un
batteur a oeufs?
-cést la loi de l'élastcité.
Si on perce au bon endroit, ca afflaibliora le mur et táuras
plus qu'a taper dessus pour qu'il s'éffondre.
-et comment tu sais ou percer?
-des calculs assez
précis...enfin j'espère, sinon tu vas percer une conduite de gaz derriere le mur et tout va exploser
-Mais t'es fort en maths hein?
Sara attrapa
l'injection de penicilline, puis elle ouvrit la porte et regarda autour d'elle. Ou était passé le gardien encore présent il y a un instant? ? Elle baisa les yeux au sol et le vit inanimé. Elle resta incapable de bouger pendant 3 dixiemes de seondes, puis les engrenages de son cerveau se remirent en marche. Elle leva les yeux et tomba nez a nez avec Kumae, plus impressionant que jamais,
comparé au maigre théo derriere lui. Elle eu la présence d'esprit de se precipiter dans l'infirmeriedont elle verouilla rapidement la porte. A travers la vitre grillagée elle pouvait voir les visages avides, impatients et affamés des détenus qui n'attendaient qu'une chose d'elle.
-Aller doc, on va bien s'amuser!
-Faut pas avoir peur miss Tancredi!
-dommage, super papa gouverneur est aps la pour te sauver ma
jolie!
-Ba voyons je suis pas beau gosse moi?
Si la situation n'avait pas étéaussi tragique, elle lui aurai répondu « pas autantque Michael ». Penser a lui la calma legeremment. Quefaisait-il en se moment? Ou était-il? Et courait il un danger
quelquonque? Elle s'efforca de ne plus penser a lui, mais de penser comme lui. Que ferait-il? Oú irait-il? Las, la confusion
regnait en maitre dans ses pensées obscures. Elle alla vers le
téléphone et decrocha le combiné. Il y avait une faible tonalité. Elle composa le numero du bureau de Pope, machinalement. Par chance, la secraitaire était encore la
-Allo?
-Oui c'est Sara! Le Dr tancredi!je suis bloqué dans la salle des malades de...
la tonalité était coupée. Sara vit un detenu brandissant fierement le fil arraché du téléphone. « désolé, cette ligne rencontre quelque sproblemes techniques pour le moment! »
Elle était vraiment dans une situtation horrible, mais elle ne
se laisserait pas faire. Elle releva sa blouse pour etre libre de ses
mouvements et un petit objet rouge en tomba. Elle le ramassa. La fleur. Sa fleur. Le moment ou elle l'avait trouvé, un quart
d'heure plus tot, lui semblaita présent remonmter a des
siecles et des siecles. Et pourtant voir cette petite fleur en
papier la reconfortait. Elle imaginait le soin qu'il vait mis a la
faire, l'incroyable précision de gestes emn pliant le papier,
l'agilité inouie de ses longs doigts fin... Les coups sourds
de plus en plus forts portés contre la vitre de la piece la
ramenaient a la réalité.
Michael passa verifier que Sucre ne renontrait aps de problemes avec le diable et le mur.
Il alla un peu voir la facon dont évoluaient les choses hors
des canalisations, et remonta dans sa cellulle. T-bag, leprnicuex,
sournois et pervers T-Bag était assis a coté du jeune
maton apeuré. Abbruzzi , debout contre le lit, surveillait
l'ensemble, tout cela dans un silence de mort comparé au
vacarme étourdissant qui regnait a léxterieur de la
petite cellule. Michael sortit voir commnet évoluaient les
choses et vit le nouveau, Tweener ou David Apolskis, se terrer dans sa cellule. Apres avoir erré dans l'aile A, excité par
l évenement que représentait l'émeute, le
nouveau « bleu » avait manqué de se
faire tuer par un groupe de détenus isolés ayant trouvé
des packs de bieres dans la salle des gardiens.Apeuré,
l'acrobate était allé se refugier dans sa cellule.
Jouer au gros dur, c'est bien, mais il y a des limites si on
veut rester en vie. Westmoreland retsait impassble dans sa cellule,ou personmne n'avait songé a venir le déranger. Ca
faisait plusieurs années qu'il n;avait vu une émeute de
cette ampluer. Des conflits raciaux, ca il en avait vu des dizaines
chaque année, mais la derniere fois que les matons avaient été
virés comme ca d'un batiment de Fox Rievrs était vraiment il y a bien longtemps. Michael montait un petit escalier de fer lorsque la voix d'un quelconque détenu attira son attention:
« Eh, Gueule d'ange, vient voircomment Kuame et Theo sont en train de se faire la doc! » Son cerveau eu du mal a analyser l'information. La doc.. Sara!! Une fois les rouages de son cerveau remis en route, il réagit au quart de tour et dévala les escaliers, entra en trombe dans ce qui avait été la salle des matons , puis jeta un regard a la multitude d'écran, correspondants a toutes les caméras de surveillance omniprésentes dans le batiment. Il les balaya d'un coup d'oeil, puis son regard s'arrêta sur l'un déntre
eux. Il voyait Sara, si vulnérable devant ces monstres hurlants et
criants, ces fauves voraces et affamés. Un bout de verre a la
main, enfermée dans une salle de l'aile B, elle était
accroupie. Sa blouse gisait par terre, tache blanche sur l'écran
grésillant. Il bouscula plusieurs détenus et sorti en
courant de cete salle de surveillance. Il foncai vers sa cellule,
du mieu qu'il pouvait dans l' agitation générale, la
peur du sort reservé a Sara lui donnant des ailes. Il ecarta
le drap a l'entrée de la 40 et sous les yeux etonnés du
pédophile te du mafieux, il se jeta dans le trou. Il sprinta
dans les conduits, manquant de se rompre les os maintes fois, et il ariva enfin au toit. Il se cacha d'un hélicoptère de l'armée
qui effectuait des cercles autour du bâtiment et ne pris pas le temps de regarder les milotaires, et journalistes qui sáctivaient en
bas. Il passa par une bouche d'aération et rampa dans des conduits qui lui semblaient sans fin, ayant peur de ce que chaque seconde pouvait amener a Sara. Enfin il arriva aux faux plafonds. Jetant un coup d'oeil rapide a son tatouage, il s'orienta rapidement et bientôt, il fut a moins de 50 metres de la salle ou Sara se trouvait, cherchant la salle des malades.
Sara paniquait vraiment. Elle pouvait crier comme elle le voulait, personne ne l'entendrait. Ces hommes avaient formulé le projet de l'enfumer et elle savait qu'ils n'allaient pas tarder a le mettre a
exécution. Plus personne ne pouvait venir la sauver maintenant. Elle aurai vraiment du écouter Bellick, et , pensa
elle, c'était vraiment la 1ere fois de sa vie qu'elle pensait
ça! Il fallai que la situtaion soir grave. Elle vendrait cher
sa peau mais elle savait que seule contre ces hommes si ferocement determinés, elle n'avait aucune chance. Elle recula encore et se trouva adossée au mur de la salle alors qu'un annuaire enflammé venait d'etre projeté dans la piece. La fumée
rendait toute vision claire impossible et lui piquat les yeux, la
gorge... Une main sur son épaule la fit sursauter. Un bras
tatoué.
-Sara!
Michael.