Finding a way that leads to you

alors cette fic? ca fait super longtemps!! ne me dis pas que tu laisse tomnber!! allez écris et poste!

vraimen super ton istoire

vraimen super ton istoire

a kan la suite ??

Coucou !! =)

Je sais que ça fait un bail que je ne rien posté, mais j'avais euh ... une panne d'inspiration T.T
Voici donc une suite, j'espère ne pas trop vous décevoir ...





Sara manœuvra pour se garer correctement sur le parking de la poste ; une fois son créneau réussi, elle sortit précipitamment de la voiture, la verrouilla et se dirigea d’un bon pas vers l’entrée de l’établissement.

Le soleil amorçait lentement sa descente derrière l’horizon ; l’air commençait à se rafraîchir, tandis que les ombres s’allongeaient, comme annonciatrices de la nuit qui n’allait pas tarder à tomber. Le flot ininterrompu des véhicules qui parcouraient les grandes artères de la Cité des Anges n’allaient pas s’arrêter pour autant au crépuscule ; comme toutes les grandes villes des Etats Unis, Los Angeles ne dormait jamais – ou presque jamais.

Sara poussa la porte principale de la poste ; elle se retrouva dans un hall au plafond haut, à l’atmosphère feutrée. Un murmure continu provenait des guichets, où les gens parlaient à voix basse avec les employés. Sans plus réfléchir, la jeune femme se dirigea vers un guichet libre.

-Bonjour, je euh …

Elle fouilla dans son sac à la recherche du bout de papier où elle avait noté les précieuses informations.

-Je voudrais récupérer le courrier qui doit se trouver dans une boîte postale au nom de Scofield, s’il vous plaît, Michael Scofield.

L’employée lui sourit légèrement et tapota quelques touches sur son ordinateur ; au bout de quelques secondes, elle fit une moue interrogatrice.

-Je suis désolée Mademoiselle, mais nous n’avons aucune boîte postale réservée à ce nom.

Michael, si c’est encore une de tes énigmes à la noix …

-Essayez avec Tancredi, Sara.

L’employée de la poste reporta son attention sur l’ordinateur ; le sourire reparut sur son visage.

-J’aurais besoin d’une pièce d’identité, s’il vous plaît.

Sara lui tendit le rectangle de plastique ; quelque secondes plus tard, la jeune femme ressortit de la poste, une grande enveloppe brune à la main. Elle s’assit derrière le volant pour consulter le dossier qui se trouvait à l’intérieur.






Ledit dossier était en tout point identique à celui que lui avait donné Christina Rose Scofield ; à ceci près que cette fois, des Post-It apposés un peu partout sur les feuillets marquaient certaines informations, vraisemblablement écrits par Michael.
Une fois encore, Sara se plongea dans la pléthore de révélations contenues dans le dossier.



Les notes griffonnées par Michael permirent à Sara, enfin, de réunir toutes les pièces du puzzle et d’avoir toutes les réponses à ses questions. Enfin, les informations s’imbriquèrent les unes aux autres pour former une histoire, l’histoire de cette jeune femme. L’histoire d’une vie gâchée, d’une vie faite de déceptions, de fuite, de terreur.

La vérité.




Aldo Burrows avait deux fils : Michael et Lincoln. Il se trouvait alors dans une période charnière de sa vie ; il venait de quitter la Compagnie et commençait à travailler activement contre elle. L’homme déménageait souvent et n’avait aucun port d’attache, aucun ami, et il avait depuis longtemps abandonné sa famille derrière lui, contre son gré. Il n’avait aucun lien avec le monde.

Jusqu’à Laura.

Aldo Burrows était resté à Philadelphie un peu plus longtemps qu’il n’aurait dû. Un peu plus longtemps que nécessaire. Juste pour elle.

Laura était serveuse au Philly’s Grill, un bar restaurant où l’on servait des viandes délicieuses. Au bout de quelques jours, Aldo prenait tous ces repas là-bas. Malgré son instinct lui hurlant que son attitude n’était pas du tout prudente, et qu’il risquait de se faire descendre au coin de la rue, Aldo prolongeait son séjour.
Laura était une jolie brune. De taille moyenne, la trentaine, des yeux verts encadrés par de longs cheveux, c’était une femme pétillante, en apparence. Mais Aldo avait su déceler cette petite mélancolie en elle, cette petite chose qui la rendait mystérieuse. Cette petite chose que personne d’autre ne semblait voir.

Et puis … Il avait suffi d’un instant de faiblesse. Une délicieuse faiblesse, qui avait duré une partie de la nuit.

Aldo était ensuite parti, laissant derrière lui une Laura déjà amoureuse.

Neuf mois plus tard naissait une petite fille. Malgré ses efforts pour contacter Aldo, Laura ne réussit pas à mettre la main sur le père de son enfant. Incapable d’assumer seule cette responsabilité, Laura, anéantie, laissa sa fille d’à peine quelques mois aux bons soins d’un orphelinat.





Los Angeles, quelques heures avant le départ de Michael


-Michael. Je t’en prie, entre.

Christina Rose Scofield attendait la venue de son fils avec une certaine impatience, bien qu’elle n’en laisse rien paraître. Elle se trouvait debout entre la baie vitrée et le canapé et, lorsque Michael fit quelques pas dans la pièce, elle prit quelques secondes pour l’observer.

Leurs vies respectives ne laissaient place à aucune familiarité, d’aucune sorte. Ils étaient certes mère et fils, mais même cet état de fait ne parvenait à combler le trou béant laissé par Christina à son départ. Michael ne ressentait rien qui puisse s’apparenter à l’amour qu’un fils pourrait porter à sa mère ; et cette dernière était bien trop prise par son « travail » pour se laisser déborder par une quelconque joie de revoir son cadet. S’il y avait un sentiment, quel qu’il puisse être, il était profondément enfoui, invisible, étouffé.

-Assied-toi.

A contre cœur, il obéit. Son instinct lui dictait d’être prudent ; il était cependant curieux d’entendre ce que sa mère avait à lui dire.

-Pourquoi suis-je ici ?

La question fit sourire Christina.

-Pour une raison précise, rassure-toi.

Son ton était un rien amusé. Une pointe d’agacement naquit en Michael ; il n’était pas vraiment d’humeur à entendre sa propre mère tourner autour du pot. Christina s’arrogea quelques secondes pour décider par où elle allait commencer. Elle décida que le plus court serait le mieux.

-Ecoute Michael, je n’irais pas par quatre chemins. Le temps n’est pas quelque chose dont nous disposons actuellement …

Satisfaite de son entrée en matière, Christina porta un instant son regard au-delà de la baie vitrée, puis à nouveau sur son fils assis en face d’elle.

-Il y a quelques années, quelques temps après que ton père soit parti, il a eu … une aventure, avec une jeune femme de Philadelphie.

Elle fit une pause et scruta le visage de son fils, à la recherche d’une émotion quelconque.

-A l’époque, il ne restait jamais très longtemps au même endroit. Selon moi il a… Il a commis une grossière erreur. Enfin, au vu de tout ce qu’il s’est passé ensuite il …
-Christina. Je n’ai plus le temps d’écouter toutes ces conneries. J’en ai marre, tu comprends ? Alors va droit au but et j’irais vivre ma vie.

La mère du jeune ne fut qu’à peine surprise de voir son fils prendre la mouche. Pas de « maman », juste « Christina ». Elle aurait été stupide de s’en émouvoir.

-Très bien. Quelques temps plus tard, j’ai appris que cette jeune femme a eu un enfant.

L’évidence s’imposa à Michael, mais il refusa de la laisser s’installer en lui.

-Un enfant de ton père. Une petite fille, plus précisément.

Enfin, une émotion naquit sur le visage de Michael.

-Je pense que tu comprends ce que cela signifie. Tu as une sœur, Michael. Zoe. Zoe Porter.

Ahhhhhhhhh c'est sa soeur.. je le savais lol...

cette suite est juste superbe, bravo miss... moi j'en veux encore...
j'ai hâte de savoir ce que mike à pu ajouter dans ses posts-it

la suiteeeeeeee

Merci Hafida !!! =D

Je suis contente que cette suite te plaise !! <3

A mort, tellement j'ai pas su quoi répondre, je pourrais la commenter mais y'a tellement à dire que je ne sais comment commencer lol

et par contre ne nous fait pas attendre encore des mois pour une suite pitiéééééééééééééééé, je veux trop savoir...

LOL, là je suis sur ma lancée, du coup jvais essayer de poster plus vite xD

En tout cas ça me fait chaud au coeur de voir que je te laisse sans voix ... Ou plutôt sans mots MDR XD Merci

comme toujours miss, tu ecris trop bien et tu as le chic de nous laisser l'eau à la bouche... crois moi, je vais te harceler pour avoir la suite...

je t'ai mis quelques + pour t'encourager lol..

Maiiiiiiis !!!! Viens, je t'attends

Nickki a écrit:

Maiiiiiiis !!!! Viens, je t'attends

j'arrive lol

pufff t'es même pas Co.

Si si, je suis làààààààààààààà ^______^

Prête pour te battre ?

Non sérieusement. Je pense recommencer à écrire ce soir, ou demain, je sais pas, suivant mon inspiration ^^
Est-ce que t'as retrouvé tes mots Haf' ? Tu vas bien trouver un défaut dans mon texte pourri, non ? xD

ben je ne vois pas sur msn

trouvé mes mots ??

le seul défaut qu'il y a c'est ton sadisme à nous faire trop attendre et languire comme pas possible lool...

pour le sadisme c'est à ma muse qu'il faut s'adresser xD

Ahh, tu parlais d'MSN avant !! Non, j'y suis pas, je regarde un vieux film catastrophe à la TV xD Honte à moi T.T Mais j'y serais tout à l'heure ^_______^

c'est qui ta muse ?

et c'est quoi le film ?

Le film c'est Aftershock : Tremblement de terre à NY xD

Et pour ma muse ... c'est personne en particulier, simplement c'est un peu une conne qui me lâche quand ça la chante xD

Ah oui je vois le genre de film, ca passe souvent à la télé ca, surtout en ce moment, je suis tombée plusieurs fois...

pour ta muse, rattrape la, c'est trop important et puis une fois fait tu l'attache lol...

pas de suite ici aussi ?

Hé non, pas encore ... J'étais bien partie hier soir, mais ma muse m'a lâché ... Bitch XD

mais va la chercher lool(jte dis ca mais moi aussi j'y arrive pas)

j'ai commencé autre chose mais pour mon OS, j'ai carrément bloqué... truc de fou...

C''est dingue ça. T'es devant ta feuille Word, et puis paf ! Plus rien.

Nickki a écrit:

C''est dingue ça. T'es devant ta feuille Word, et puis paf ! Plus rien.

exactement ..